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Au coeur des Familles
9 janvier 2012

Les méandre de la guerre

Il est tard lorsque le tonnerre gronde et que le ciel se couvre doucement, eau attiré par l’afflux de mana grandissant dans la zone, et quelle zone, c’est devant le palais des Drads que se rassemblent les armées puissantes et fière des Koros, des Dreatch et des Sorey, suivit par des Graber et des Pjeyhs, les plus grandes puissances sont là, silencieuse, jurant leurs haine devant les murs d’un palais qui ne ressemble pas à un château mais dont on dis les mures infranchissable. Le monde est là et votre journaliste aussi pour vous compter ce qui c’est vraiment passé ce jours-là.

Ce jours-là, alors que les Dehodes arrivaient au loin, surement prévenu trop tard, le monde se mis à trembler, un battement de cœur, puis un autre, alors doucement, sans en bruit, la porte du palais des Drads s’ouvrit sur une armée d’un seul homme, les Irengare étaient là, puissant et fiers, marchant comme un seul homme au milieu de la plaine encore tiède du soleil d’Automne. Derrière eux vinrent les Drads et les Ib’Sulman dont la puissance militaire longtemps crue faible n’est plus à démontré après ses jours sombre. Des panthères et des tigres, tous les blanc était là, ceux dont on ne parle pas, ces Ib’Sulman qui vivent dans la neige de leurs monde, puissant guerrier que l’on oublie bien trop souvent, tout crocs sortie dans un sourire presque malsain. Et, alors que des Orbohnes rejoignaient les rangs des Drads par l’extérieur du palais tel ne fut pas ma stupeur lorsque je vie, non pas un mais des centaines d’Osnirs se placer sur les murailles.

Alors, mener par armure et Veilleur, les nains et quelques Drads sonnèrent la contre charge des Graber … Pourquoi à cette instant les Dehodes n’ont pas bougé, la question se pose encore mais, étant présent je peux vous dire qu’ils regardaient un groupe d’homme que je n’ai pas réussi à identifier, la bataille dans le regard des uns et des autres était bien plus violente que ce que subissait les pauvres Graber qui tombaient par milliers sans infliger de perte.

Les cieux et la magie n’était pas en reste non plus, des éclaire néoromantique ou blanc de la puissance Sorey fusait pour se muté en gloire ou en pluie fine et rafraichissante. Les sorts, des deux côtés contré ou drainés ne laissait pas de place à un instant de repos et c’est les mains encore tremblante de me protéger sans fin que je vous raconte cela pourtant trois jours après.

Mais, alors que le reste de l’armée se préparait à entrer dans la violence et le sang c’est le sang des Dreatch et des Sorey qui fut rependu par leurs ancien allier Koros, qui, comme un seul homme, se retournaient. C’est à cette instant que, bien que protéger par mes frère j’ai dû pousser le repli, les sort était trop puissant et toute la plaine s’embrasait ou hurlait sous la violence des sort. Jamais je n’ai vu tant de magie prendre corps.

Ainsi, le reste restera dans les annales comme la fuite de l’armée adverse, toute de haine prolongée et fut pourtant sans écho parmi les hommes de l’ancienne alliance. Les pertes par pour elle, des milliers de Grabers et de soldats pris en tenaille par les Koros contre quelques Irengare et un Drads … Les Orbohns semble ceux du camp des vainqueur à avoir le plus souffert avec quelques centaines de disparurent …

Le lendemain on raconte que des Drads, au milieu des Lueurs d’âmes, dansaient au milieu des corps guidés par Cynn … Mais ceci reste une autre histoire que je ne peux vous compter car ma jambe n’avais pas encore repoussé à cette instant précis …

 

Par Sov'Heur

Pour Coeur Famille

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